Une riche histoire
Flandre occidentale, seconde moitié du XIXe siècle… Passionné par les saveurs, Jules Destrooper, un négociant colonial, combine les meilleures épices qu’il importe d’Afrique et d’Orient avec les ingrédients naturels les plus exclusifs pour produire le goût unique de son pain aux amandes, un biscuit délicat qui est encore toujours apprécié par les fins connaisseurs du monde entier. En 1886, il fonde ainsi la Biscuiterie Jules Destrooper.
L’art de conserver la qualité et la fraîcheur des produits est la principale préoccupation des deuxième et troisième générations de la famille Destrooper. Grâce à un emballage innovant et révolutionnaire pour son temps, ils réussissent à ouvrir les portes de la grande exportation. Le début d’une authentique success story…
Année 2011
Aujourd’hui, la Biscuiterie Jules Destrooper est encore toujours une entreprise familiale totalement indépendante, dirigée par les arrière-petits-fils de Jules, Peter et Patriek Destrooper. L’entreprise, qui emploie 160 collaborateurs enthousiastes et réalise un chiffre d’affaires annuel de plus de 25 millions d’euros, produit quelque deux millions et demi de biscuits par jour, consommés par de fins gourmets dans 75 pays. L’an dernier, les exportations représentaient déjà 65 % du chiffre d’affaires total.
L’ingrédient essentiel du succès de l’entreprise au fil des décennies est sans contexte la fidélité à ses valeurs fondamentales (authenticité, amour du métier, origine belge, intégrité et indépendance). Si les méthodes de production ont évolué considérablement à travers les époques, les recettes (secrètes) à base de beurre naturel et le souci de la qualité du fondateur sont restées immuables.
La croissance de l’entreprise au cours des dernières années est également le résultat du respect du consommateur et des autres cultures : la biscuiterie cherche toujours à assurer un bon équilibre entre les considérations globales et les aspirations locales. Et si l’on y ajoute son approche contemporaine et créative ainsi que l’art d’innover en partant d’une bonne préparation, l’on aura cité les principaux facteurs du succès de l’entreprise.
Une année chargée pour le 125e anniversaire
2011 promet d’être une année riche en événements et en réalisations, tant en Belgique qu’à l’étranger, pour les biscuits au beurre de Lo (Flandre occidentale).
Le Fournisseur de la Cour de Belgique s’engage résolument sur la voie du développement durable et de la responsabilité sociale de l’entreprise. Ainsi, elle prévoit de nombreuses initiatives (entre autres, des panneaux solaires à Lo et un projet avec le fournisseur CHEP) pour réduire le plus possible son empreinte écologique. À l’automne, elle démarrera une collaboration avec le Quality Partner Program du grand chocolatier Barry Callebaut et adhèrera au programme de don pour la fondation belge Make a Wish. Par ailleurs, Jules Destrooper mettra tout en œuvre pour décrocher à nouveau, pour son 125e anniversaire – et ce, pour la dixième fois d’affilée – la plus haute distinction du British Retail Consortium (BRC) pour ses deux sites de production à Lo et à Ypres.
Comme on peut s’y attendre, Jules Destrooper lancera à l’occasion de ce prestigieux anniversaire quelques nouveaux produits à l’échelle internationale. Le pain aux amandes – le biscuit grâce auquel tout a commencé – bénéficiera d’un tout nouvel emballage. En mars, les amateurs de chocolat belge pourront se régaler de ce même pain aux amandes nappé de chocolat noir. Deux boîtes célébrant le 125e anniversaire et une extension de la gamme spéciale pour les établissements horeca sont également inscrites au programme. Sans oublier le livre que la fondation « Stichting Kunstboek » a sorti récemment sur Jules Destrooper. Cet ouvrage vient d’ailleurs de gagner le prestigieux World Cookbook Award dans la catégorie « Meilleur livre d’entreprise ».
Le 1er février, l’entreprise lancera un concours unique, spécialement pour les consommateurs belges, en collaboration avec la ville de Nieuwpoort et le développeur de projets Sea-Coast. Le premier prix n’est rien moins qu’un superbe appartement (encore à construire) dans le chenal portuaire de la belle ville de Nieuwpoort. Au début de 2012, nous saurons qui deviendra l’heureux propriétaire de ce magnifique appartement sur la côte belge.
Parée pour l’avenir
« L’entreprise et ses collaborateurs motivés sont prêts à écrire encore 125 belles années », souligne Peter Destrooper, Directeur général de la Biscuiterie Jules Destrooper. « Notre priorité est avant tout de susciter l’enthousiasme chez nos clients et les ambassadeurs de notre marque. Nous voulons continuer à renforcer l’image de qualité de nos biscuits et développer de nouveaux produits répondant aux tendances de consommation actuelles. Mon frère et moi mettrons tout en œuvre pour que la Biscuiterie Jules Destrooper reste une entreprise familiale belge indépendante. »
Fort logiquement, Jules Destrooper cherchera à développer sa croissance à la fois sur son marché domestique et dans les pays d’exportation. Peter Destrooper explique : « Chez nous, nous mettrons surtout l’accent sur l’extension de notre assortiment. Concrètement, nous souhaitons innover dans notre gamme retail et procéder à un nouveau lancement dans les boutiques spécialisées. En complément à ces axes de développement, je suis persuadé qu’il existe encore un potentiel important pour nos biscuits dans les marchés horeca et business to business (B2B). Dans nos pays à l’exportation, nous avons l’intention d’une part, de continuer à développer la distribution avec un plan spécifique par pays et, d’autre part, de pénétrer de nouveaux marchés pour nous, comme airline catering, foodservice et business to business, dans plusieurs pays. Nos chances de succès dépendront ici aussi de notre capacité à proposer des produits innovants et à étendre notre assortiment. »
LA RICHE HISTOIRE DE LA BISCUITERIE JULES DESTROOPER
Flandre occidentale, seconde moitié du XIXe siècle…
Passionné par les saveurs, Jules Destrooper, un négociant colonial, combine les meilleures épices qu’il importe d’Afrique et d’Orient avec les ingrédients naturels les plus exclusifs pour produire le goût unique de son pain aux amandes, un biscuit délicat qui est encore toujours apprécié par les fins connaisseurs du monde entier. En 1886, il fonde ainsi la Biscuiterie Jules Destrooper.
Le succès de son produit et son talent naturel incitent Jules Destrooper à développer sa propre recette d’une galette traditionnelle au beurre qui est fort appréciée dès son lancement sur le marché belge en 1890. Au prestigieux Salon international de l’Alimentation à Paris, il reçoit en 1911 la médaille d’or pour son pain aux amandes. Cette reconnaissance internationale motive Jules Destrooper à améliorer encore la qualité de ses produits. Par la suite, d’autres prix nationaux et internationaux stimuleront une première politique d’exportation sélective.
L’art de conserver la qualité et la fraîcheur des produits est l’une des principales préoccupations de la deuxième (Jules – à partir de 1911) et de la troisième (Hubert et Jean – à partir de 1956) générations de la famille Destrooper. Grâce à un film d’aluminium sous vide, il est possible de rallonger la durée de conservation de ces biscuits naturels (et donc délicats) jusqu’à neuf mois. Cette innovation marque bien évidemment le coup d’envoi des exportations à l’échelle mondiale. Dès ce moment, les gourmets du monde entier peuvent savourer la fraîcheur unique, le goût authentique et le croustillant des biscuits originaux Jules Destrooper. Pendant cette période, la biscuiterie développe en outre un troisième biscuit irrésistible : une petite sœur pour la galette au beurre, la gaufrette ou la Butter crumble.
En 1984, la quatrième génération (Peter et Patriek Destrooper) prend les rênes de la biscuiterie Jules Destrooper. Le centenaire de l’entreprise est couronné avec l’ouverture d’un second site de production à Ypres mais surtout avec la visite des Princes de Liège de l’époque, Albert et Paola. Cette visite est certainement à la base de l’octroi en 1999 du titre prestigieux de Fournisseur breveté de la Cour de Belgique à la Biscuiterie Jules Destrooper.
Le 24 août 2005, un violent incendie au siège de Lo donne un coup d’arrêt provisoire à la croissance exponentielle de l’entreprise. Pendant quelque temps, la production des gaufrettes est interrompue et le célèbre biscuit disparaît des rayons. Avec la ferme volonté de faire contre mauvaise fortune bon cœur, l’entreprise entame d’emblée la reconstruction. Et en avril 2006, la gaufrette revient garnir les rayons des magasins à la grande satisfaction de tous. Quelques mois plus tard, le VLAM (Vlaams Centrum voor Agro- en Visserijmarketing) octroie le label officiel « Produit régional du Westhoek » aux galettes au beurre de Jules Destrooper.
Il y a deux ans précisément, le fabricant ouest-flandrien de biscuits a franchi un nouveau cap dans son existence en lançant une toute nouvelle gamme de biscuits emballés individuellement pour les établissements horeca, les torréfacteurs et les entreprises de catering. Cette entrée dans un marché complémentaire s’accompagne de plusieurs investissements importants, notamment l’achat d’une machine d’emballage flambant neuve. Aujourd’hui, cette « Foodservice Line » est bien ancrée dans l’assortiment et constitue un élément important de la stratégie de croissance future de l’entreprise.
VALEURS FONDAMENTALES
Amour du métier
L’amour du métier et le souci de la qualité sont au cœur des activités de l’entreprise depuis 125 ans.
L’entreprise ne fait jamais la moindre concession sur le plan de la qualité. Le British Retail Consortium (BRC) y est particulièrement sensible : l’organisation britannique du commerce de détail a octroyé en 2010, pour la neuvième fois consécutive, la plus haute distinction à Jules Destrooper (certificat A tant pour le site de Lo que le site d’Ypres).
Indépendance
La Biscuiterie Jules Destrooper est encore toujours, après 125 ans d’activités, une entreprise familiale entièrement autonome, ce qui la rend unique en son genre.
Son capital n’est détenu que par deux actionnaires : les arrière-petits-fils du fondateur, Peter et Patriek Destrooper, ce qui garantit un processus de décision rapide et flexible.
Authenticité
Les biscuits de Jules Destrooper sont fabriqués depuis 125 ans selon les recettes intactes (et secrètes) du fondateur.
Leur principal ingrédient est le véritable beurre de ferme : il leur donne ce goût entier et typique (unique selling proposition).
Les biscuits ne contiennent que des ingrédients naturels. En clair, Jules Destrooper n’utilise aucun colorant, exhausteur de goût ou agent conservateur artificiels.
Simplicité et intégrité
Les emballages simples mais élégants se reconnaissent instantanément en Belgique et à l’étranger.
Tous les processus de l’entreprise sont mis en œuvre en respectant l’environnement et en tenant compte des intérêts de tous les stakeholders.
Origine belge
Nous sommes fiers de nos racines belges et nous le proclamons volontiers chez nous et à l’étranger.
Dans de nombreux pays, l’origine belge est encore toujours synonyme de qualité.
Le logo « Fournisseur breveté de la Cour de Belgique » figure sur tous les emballages nationaux et internationaux.
En 2006, le VLAM a reconnu officiellement la galette au beurre Jules Destrooper « Produit régional du Westhoek ».
En 2010, la province de Flandre occidentale a fait de la Biscuiterie Jules Destrooper l’un de ses Ambassadeurs.
DISTINCTIONS ET RÉCOMPENSES
Durant sa longue et riche histoire, la Biscuiterie Jules Destrooper a reçu de nombreux prix et distinctions en reconnaissance de la qualité de ses produits :
- Paris 1911, la médaille d’or pour le pain aux amandes au salon international de l’alimentation.
- Gand 1922, encore une médaille d’or pour le pain aux amandes à l’exposition consacrée à la boulangerie.
- Bruxelles 1923, la famille est honorée par un diplôme récompensant le pain aux amandes à l’exposition consacrée à la boulangerie.
- Roulers 1923, l’exposition provinciale consacrée à la boulangerie décerne à la Biscuiterie Jules Destrooper une médaille d’honneur pour le pain aux amandes et pour la galette au beurre.
- Bruxelles 1925, l’exposition de l’industrie alimentaire octroie une médaille d’argent au pain aux amandes.
- Bruxelles 1927, l’exposition de l’industrie alimentaire décerne à la Biscuiterie Jules Destrooper une médaille d’or pour le pain aux amandes.
- Bruxelles 1929, une médaille d’or tant pour le pain aux amandes que pour la galette au beurre est remise lors de l’exposition de l’industrie alimentaire.
- Bruxelles 1931, l’exposition de l’industrie alimentaire décerne le « Grand Prix » et la médaille d’or au pain aux amandes et à la galette au beurre.
- Bruxelles 1933, la médaille d’or pour le pain aux amandes et le « Diplôme du Premier prix » avec une médaille d’or pour la galette au beurre au salon de l’alimentation.
- Courtrai 1990, la Biscuiterie Jules Destrooper reçoit la « gouden Tavola » pour les florentines au salon de l’alimentation Tavola.
- Bruxelles 1996, les Affaires étrangères belges honorent la Biscuiterie Jules Destrooper avec l’Oscar à l’exportation 1996.
- Bruxelles 1999, la Biscuiterie Jules Destrooper est officiellement désignée Fournisseur de la Cour de Belgique. Retombée pratique et prestigieuse : de nombreux chefs d’État étrangers goûtent désormais nos spécialités en dégustant leur café à la table des souverains belges.
- Bruxelles 1999, une médaille d’or au salon de l’alimentation pour la qualité jamais mise en défaut de nos biscuits.
- Bruxelles 2006, le Vlaams Centrum voor Agro- en Visserijmarketing reconnaît officiellement la galette au beurre de Jules Destrooper comme « Produit régional du Westhoek ».
- Paris 2007, la Biscuiterie Jules Destrooper reçoit le 1er prix au salon de l’alimentation « Foire de Paris » pour l’originalité de sa gamme de biscuits et de son stand.
- Roulers 2008 – 2009 – 2010 : la Biscuiterie Jules Destrooper reçoit trois années d’affilée un Trends Gazelle, récompensant l’une des entreprises enregistrant la croissance la plus rapide dans la région.
- Roulers 2009 : la province de Flandre occidentale et la société de développement régional (POM) sélectionnent Jules Destrooper comme l’une des 34 entreprises pouvant porter le titre d’« Ambassadeur de Flandre occidentale ».
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