Pommes de terre industrielles : Pas de cotations, car pas de marché libre. Le rythme de travail des différentes unités belges a quelque peu augmenté (30 à 60 %) selon les types produits (frites fraîches, frites surgelées, spécialités, flocons, chips/croustilles ...) et de marchés (grande distribution européenne, restauration rapide, export européen ou mondial...). La priorité est à l’enlèvement des contrats, parfois / régulièrement, avec 1 à plusieurs semaines de retard. Les transactions observées concernent l’alimentation du bétail à des prix situés entre 0,50 et 1,00 €/q.
L'export de pommes de terre fraiche - prix entre 1,00 et 2,00 €/q - vers l’Est (hors Union, notamment Moldavie et Ukraine et dans l’Union), continue (certains exportateurs travaillent « vollebak »), mais on sait que cela se terminera bientôt car les consommateurs choisissent de plus en plus les « nouvelles » (importées ou indigènes) et laissent les « vieilles » de côté… . Les préparateurs – emballeurs pour le marché intérieur travaillent en général à un rythme supérieur que la normale (plus que 100% !).
La part des hâtives importées dépasse largement les 50% et atteint parfois 85 à 90%. C’est notamment le cas pour tout ce qui est chair ferme, alors que les « vieilles » chair tendre et farineuse trouvent encore (parfois) acquéreur.
Prix pour le tout venant, 35 mm+, min 60 % 50 mm+, min 360 g/5kg de PSE, vrac, fritable, départ, hors TVA, livraison directe : Bintje, Fontane, Challenger : non cotées par manque de transactions pour l’industrie.